Sommaire du journal N°84 - Octobre/Novembre 2007
Chers lecteurs,
Le projet de port méthanier au Verdon continue de susciter les plus vives polémiques. On s'insulte de part et d'autre et on en vient presque aux mains.
Avec l'apport des voisins d'en face de la Charente-Maritime, l'association «Une pointe pour tous» revendique aujourd'hui 2500 adhérents et s'appelle dorénavant «Collectif des deux rives». On trouvera ici le programme des réunions publiques qui se dérouleront jusqu'à la fin de l'année.
Les élus sont écartelés entre l'impact économique – 80 emplois prévus et une belle manne attendue de taxe professionnelle – et l'impact écologiqe de l'installation sur le rivage de l'estuaire «le plus sauvage d'Europe». Le projet méthanier va évidemment à l'encontre de la vocation touristique de la pointe du Médoc déjà amorcée avec la multiplication des pistes cyclables et la réalisation du port de plaisance de Port Médoc dont le succès s'affirme de jour en jour.
Le débat actuel aura eu au moins un avantage, celui de remettre au premier plan le projet d'éoliennes dont l'impact négatif semble aujourd'hui dérisoire, aux yeux même de ses détracteurs, par rapport à la menace du port méthanier. Ce qui conduit les élus à se «presser le citron» pour faire preuve d'imagination et accélérer la mise en place de solutions alternatives.
Alors qu'elle pinçait le nez devant le projet d'éoliennes, la Communauté de communes y est aujourd'hui plutôt favorable et préconise que le site du Verdon devienne un site d'expérimentation d'énergies renouvelables... Son président, Xavier Pintat, pense même à «revitaliser» les croisières, comme avant la guerre où les paquebots accostaient au Verdon. Bref, les idées fusent. Comme quoi, à toute chose malheur est bon !
Le projet de port méthanier au Verdon continue de susciter les plus vives polémiques. On s'insulte de part et d'autre et on en vient presque aux mains.
Avec l'apport des voisins d'en face de la Charente-Maritime, l'association «Une pointe pour tous» revendique aujourd'hui 2500 adhérents et s'appelle dorénavant «Collectif des deux rives». On trouvera ici le programme des réunions publiques qui se dérouleront jusqu'à la fin de l'année.
Les élus sont écartelés entre l'impact économique – 80 emplois prévus et une belle manne attendue de taxe professionnelle – et l'impact écologiqe de l'installation sur le rivage de l'estuaire «le plus sauvage d'Europe». Le projet méthanier va évidemment à l'encontre de la vocation touristique de la pointe du Médoc déjà amorcée avec la multiplication des pistes cyclables et la réalisation du port de plaisance de Port Médoc dont le succès s'affirme de jour en jour.
Le débat actuel aura eu au moins un avantage, celui de remettre au premier plan le projet d'éoliennes dont l'impact négatif semble aujourd'hui dérisoire, aux yeux même de ses détracteurs, par rapport à la menace du port méthanier. Ce qui conduit les élus à se «presser le citron» pour faire preuve d'imagination et accélérer la mise en place de solutions alternatives.
Alors qu'elle pinçait le nez devant le projet d'éoliennes, la Communauté de communes y est aujourd'hui plutôt favorable et préconise que le site du Verdon devienne un site d'expérimentation d'énergies renouvelables... Son président, Xavier Pintat, pense même à «revitaliser» les croisières, comme avant la guerre où les paquebots accostaient au Verdon. Bref, les idées fusent. Comme quoi, à toute chose malheur est bon !
Médoc
- Port méthanier : un débat passionné
- Une saison sauvée des eaux
- Port méthanier : dans une ambiance détestable
- Port méthanier : un premier débat houleux
- Port méthanier : copie à revoir ?
- Port méthanier : le front des opposants se renforce
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Carcans-Maubuisson
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Courrier des lecteurs
De Mme Coudret [Bordeaux], propriétaire au Verdon