Sommaire du journal N°97 - Décembre/Janvier 2009
Chers lecteurs,
Son projet de terminal méthanier au Verdon ayant été repoussé, 4Gas entend aujourd'hui faire payer le port de Bordeaux et l'Etat, la non-reconduction de sa convention avec le port ayant été imposée par un membre du gouvernement, en l'occurence le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, par ailleurs président du Conseil général de Charente-Maritime. Et le groupe néerlandais n'y va pas de main morte : il réclame 320 millions d'euros, demande qui paraît quelque peu fantaisiste mais qui inquiète malgré tout les responsables du port aquitain dont le chiffre d'affaires tourne autour de 45 millions.
L'association Vive la Forêt, qui fête cette année son vingtième anniversaire, a tenu son assemblée générale il y a quelques jours. L'occasion de rappeler son principal combat : celui de la protection du littoral et de la forêt contre les «bétonneurs» et d'une façon plus générale contre tous ceux qui portent atteinte à la nature. Ce qui l'amène aujourd'hui à s'opposer, paradoxalement, à des projets «écologiques». C'est ainsi qu'elle combat notamment l'implantation d'éoliennes à Naujac, parce que celles-ci seraient sur la deuxième ligne de dunes de la forêt, et qu'elle a obtenu du sous-préfet de Lesparre qu'il rejette le projet de ferme solaire de 120 hectares à Montalivet, jugé trop proche du rivage dans un espace forestier protégé. Ce qui provoque la colère de Michel Bibey, le maire de Vendays-Montalivet, qui ne comprend pas qu'au moment où tout le monde évoque le Grenelle de l'environnement – et que la loi Grenelle II vient d'être adoptée en première lecture au Sénat – on lui refuse l'autorisation de créer un parc photovoltaïque...
Son projet de terminal méthanier au Verdon ayant été repoussé, 4Gas entend aujourd'hui faire payer le port de Bordeaux et l'Etat, la non-reconduction de sa convention avec le port ayant été imposée par un membre du gouvernement, en l'occurence le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, par ailleurs président du Conseil général de Charente-Maritime. Et le groupe néerlandais n'y va pas de main morte : il réclame 320 millions d'euros, demande qui paraît quelque peu fantaisiste mais qui inquiète malgré tout les responsables du port aquitain dont le chiffre d'affaires tourne autour de 45 millions.
L'association Vive la Forêt, qui fête cette année son vingtième anniversaire, a tenu son assemblée générale il y a quelques jours. L'occasion de rappeler son principal combat : celui de la protection du littoral et de la forêt contre les «bétonneurs» et d'une façon plus générale contre tous ceux qui portent atteinte à la nature. Ce qui l'amène aujourd'hui à s'opposer, paradoxalement, à des projets «écologiques». C'est ainsi qu'elle combat notamment l'implantation d'éoliennes à Naujac, parce que celles-ci seraient sur la deuxième ligne de dunes de la forêt, et qu'elle a obtenu du sous-préfet de Lesparre qu'il rejette le projet de ferme solaire de 120 hectares à Montalivet, jugé trop proche du rivage dans un espace forestier protégé. Ce qui provoque la colère de Michel Bibey, le maire de Vendays-Montalivet, qui ne comprend pas qu'au moment où tout le monde évoque le Grenelle de l'environnement – et que la loi Grenelle II vient d'être adoptée en première lecture au Sénat – on lui refuse l'autorisation de créer un parc photovoltaïque...
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Courrier des lecteurs
De Mme Coudret [Bordeaux], propriétaire au Verdon